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Nouveautés - Page 6

  • Le pacte des vierges - Vanessa Schneider - Stock

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    Achat de ce livre à la rentrée, lecture finie la semaine dernière, et je cherche encore pourquoi les critiques littéraires, dans leur ensemble, annonçaient un roman qui nous parlait de l'Amérique profonde.

    Certes, le récit (ou le témoignage, car on ne sait si tout cela est réel) se passe à Gloucester, mais à part cela, rien ne décrit l'Amérique profonde. Certes on y découvre le système santé américain qui ne va pas permettre à ses jeunes filles de bénéficier des soins adéquats en cas de grossesse. On est aussi loin des clichés américains : ne cherchez pas les strass, le m'as-tu-vu, le rêve américain : rien de tout cela.  Ceci dit, je ne suis pas une spécialiste de la littérature, je lis par plaisir, pour m'évader, alors peut-être suis-je passée à côté de ces quelques indices. Ceci étant, j'ai apprécié ce témoignage relaté par quatre des jeunes filles enceintes à l'âge de 15-16 ans.

    Gloucester, petit village, compte à la fin de l'année scolaire 17 jeunes filles enceintes prêtes à accoucher au même moment. Que se passe-t-il réellement ? Les médias américains parlent d'un pacte, tentent de savoir, mais les jeunes filles ne diront rien, ne se livreront pas aux médias.

    L'auteur, journaliste, arrive elle à interviewer quatre de ces jeunes filles : Lana (leader de la bande), Sue, Cindy et Kelly. Aucune d'entre elle ne veut révéler si pacte il y a, ou il y a eu. Cependant, au fil des pages, et de leurs confidences, le lecteur comprend alors que oui, il y a pacte, que certaines d'entre elles doivent être enceintes du même garçon, qui lui est majeur et risque "gros". Jamais elles ne dévoileront ou avoueront qu'il est le père.

    Quatre jeunes filles liées par une grande amitié, telle que l'on a pu la connaître à nos heures d'adolescent(e)s. Elles se retrouvent dans une caravane, leur nid douillet créé de leurs propres mains. Cette caravane, symbole de leur amitié, de leur pacte : avoir un enfant, et l'élever toutes ensembles. Pour cela, elles se sont constituées sous l'influence de Lana une belle cagnotte qui leur permettra d'assumer leur progéniture.

    J'ai, par contre, était très touchée par les problèmes que rencontrent ses jeunes adolescentes. L'une n'ira jamais voir un médecin faute de moyens financiers (fait que je ne peux rattacher à l'Amérique car en France, certaines femmes sont dans le même cas), l'autre se fera payer une échographie par sa maman qui fera des heures supplémentaires pour honorer les frais engendrés par ce simple acte radiologique. Lana, elle, mettra tout en oeuvre pour que les services sociaux ne lui enlèvent pas l'enfant à venir, et l'autorise à vivre chez elle avec une mère dépressive.

    Un roman fort, qui se lit facilement. 

    Vanessa partage ce témoignage avec des mots simples. A maintes reprises, je me suis demandée s'il ne s'agissait pas d'une retranscription mot pour mot de l'interview menée par la journaliste dont on ne saura rien, par ailleurs tout au long de la lecture.

    La fin se veut tragique, mais pouvait-il en être autrement ? 

    J'ai découvert Vanessa et pense sérieusement lire d'autres romans de cette jeune journaliste qui a une plume fort agréable. 

     

  • Facebook, mon amour - Eric Neirynck - LC Editions

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    Comment ce livre est arrivé entre mes mains ?

    Grande histoire, sujet d'un roman qu'est l'acquisition de ce livre. Voici deux semaines, je commande ledit manuscrit via une grande enseigne nationale. Commande, paiement (et oui dans le Sud, on paie sa commande avant réception) et attente de l'appel qui m'informera de l'arrivée de cette oeuvre. Point d'appel à l'horizon, retour à l'enseigne nationale qui me dit que ben "y a un problème", faut recommander. Je dois repayer ? non bien évidemment. 

    Contact avec l'auteur via Facebook, bien sûr, et je commande alors via le site de l'enseigne nationale. Livre dispo, alors je fonce, commande par là même d'autres livres, et après validation, on m'informe que le livre sera disponible entre le 6 et 11 octobre. Arghhhhhh

    Dimanche soir, contact avec l'éditeur qui m'informe que je peux commander via le site des éditions LC, je fonce car je veux lire ce livre, et je dois en offrir un exemplaire à une amie. Je commande le livre, donc dimanche soir, y ajoutant au passage "Peut-on aimer une morte ?" de JL Poly, et je paie en ligne. Vingt minutes plus tard, mail me confirmant l'envoi de mes achats dès le lendemain, soit lundi matin, soit hier.

    Aujourd'hui, mardi, arrivée à la maison avec deux sacs emplis de corrections, livres pédagogiques et en option 7 enfants (oui, oui), détour par la boîte aux lettres. Oh surprise, joie, émotion : une enveloppe kraft de Paris qui tient au chaud mes deux achats du dimanche soir. 

    BRAVO LC EDITIONS pour votre délai de traitement de commande et de livraison, vous êtes au top. 

    Voilà donc "Facebook, mon amour" entre mes mains, sept gamins alignés sur la table du salon à faire leurs devoirs (du CP à la terminale),et une Bérangère qui lit entre deux "C'est juste ? Je comprends pas ..."

    Lecture de Facebook, mon amour par moi-même

    Sept enfants plus tard, devant une bière fraîche,sur la terrasse au soleil, avec vue sur mon jardin, je déguste ce doux objet qu'est le livre. Oui, j'aime le livre,l'objet livre (je suis ok avec Beigbeder) : le toucher, le sentir, le gribouiller, le corner pour les pages qui me plaisent. 

    Deux heures plus tard, livre fini. Je ne veux pas le fermer, mais il le faut, y a plus de pages. Tant pis, je le lirai de nouveau, car on peut le lire plusieurs fois, et en plus aucune obligation de suivre un ordre chronologique puisqu'il s'agit de quatorze nouvelles, courtes, concises, surprenantes.

    J'en pense quoi ? 

    Tout en lisant ces nouvelles, se déroulait dans mon cerveau des courts métrages. Je lis, je vois les images, je vois les scènes, par contre les personnages sont troubles, mais ce n'est pas dérangeant, loin de là. 

    Eric ne vous décrit pas les personnages ou très peu, il s'attarde plus sur le ressenti de ces personnages. Mais est-ce vraiment des personnages créés par l'auteur au fil de sa lecture des différents statuts de ses amis facebookiens ou s'agit-il de lui et l'autre? L'autre qui est tour à tour une femme ou un homme. 

    Les femmes. Parlons-en. Elles ont une place centrale dans les nouvelles. La femme, celle qui fait naître le désir chez lui (le narrateur), celle qui, fugace, traverse une nuit, une semaine, quelques mois du narrateur. La femme jeune, la femme belle, la femme qui a vécu, la femme esseulée, la femme qui souffre intérieurement, la femme qui consomme l'homme l'instant d'un corps à corps, la femme sous toutes ses coutures.

    L'homme ou l'Homme, je ne sais pas, je me pose encore la question. Mais l'homme sensible, malheureux, honteux, peureux est aussi fort bien décrit dans les nouvelles que nous offre Eric. 

    Il s'agit de "vignettes de vie" comme il est écrit sur la quatrième de couverture. Certes, mais je préfère le terme de courts métrages, car tout est fluide, tout va vite sauf la description des sentiments. 

    Eric, l'auteur, s'est-il inspiré de sa vie, de ses souffrances, de ses découvertes pour écrire ce recueil ? Je ne sais pas et je ne veux pas savoir car le fait de savoir casserait la tendresse que j'ai pour les personnages que j'ai rencontrés ce soir en lisant ce livre. 

    La plume d'Eric

    Je ne suis pas experte du tout dans l'analyse linguistique des textes que je lis, qu'il s'agisse de nouvelles, de romans ou autre. Je n'ai pas la prétention d'être une chroniqueuse littéraire, je suis simplement une lectrice qui vous rend compte de ses lectures avec son ressenti en tant qu'humain et non sous l'axe littéraire. Cependant, je note que l'auteur a une plume très stylisée. Eric utilise dans une même phrase le mot gland, parois et palais. Phrase crue mais écrite avec délicatesse, amour et tendresse. 

    Amour, tendresse : mots très souvent utilisés par l'auteur, mais qui n'apparaissent jamais comme des répétitions. Doué Eric. 

    Une nouvelle sur le thème du suicide écrite avec une volupté, une tendresse et une timidité touchante m'a émue, beaucoup. 

    Bravo Eric, moi j'aime beaucoup, je ne regrette pas mon achat, bien au contraire. 

    Et puis au delà de ça, j'ai un nouvel ami ;)

  • Le soleil, l'herbe et une vie à gagner - Charles et Thierry Consigny (JC Lattès)

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    Je ne sais si le mot "roman" correspond réellement à ce récit d'un père à son fils, et d'un fils à son père. Il me paraîtrait plus juste de parler de témoignage, car oui il s'agit d'un témoignage.

    Un témoignage d'amour, de non-dits durant des années entre un père de famille nombreuse, et un fils en mal de vivre. 

    Tout commence par un appel téléphonique du fils à son père. Charles, le fils, appelle son père, Thierry, de l'Hôtel Dieu où il est hospitalisé, à sa demande, après un mauvais trip. 

    Charles, jeune homme qui se la pète un peu, avouons-le, se retrouve à l'Hôtel Dieu et voit alors sa vie défiler sous ses yeux. Ses rendez-vous manqués avec son père, avec lui-même.Charles ne sait plus ce qu'il veut, ce qu'il vaut, ce qu'il est. Charles souffre, et à travers sa plume il se livre d'abord à son père, car il ne sait si ce livre paraîtra un jour. Il met enfin des mots sur sa souffrance qui n'est autre que l'accumulation de souffrances enfouies. Charles pause un regard doux sur sa vie, ses choix. Son témoignage est sensible, tout comme lui d'ailleurs. Charles a vingt ans et ne sait pas, ne sait plus. Veut sans vouloir, assume sans assumer. 

    Thierry, le père, quelque peu imbu de lui-même, égoîste, ne pensant qu'à lui, son bonheur immédiat, mais sensible, à l'écoute de ses enfants même si parfois il passe à côté de l'essentiel. Thierry, ce père en souffrance, en extrême souffrance même. Les non-dits tuent sa relation aux autres, mais quand il dit, ça fait mal.

    Ces deux hommes vont se livrer à travers leurs plumes respectives, sans fausseté, sans crainte, avec leurs faiblesses, leurs forces. Ils s'aiment, s'admirent, mais ne peuvent se le dire. 

    Ce récit à quatre mains, ou à deux voix, est poignant, franc et beau simplement.

    Je salue Charles, sincèrement, pour son art délicat. L'art de parler de l'homosexualité sans tomber dans les clichés, sans vulgarité aucune, et c'est attendrissant, beau. Charles qui nous parle de ses doutes, du mal être de cette nouvelle jeunesse dorée qui sous ses airs souffre. Oui, notre jeunesse actuelle souffre du trop vite, trop rapidement, du faux semblant. 

    Un récit à lire. 

  • Muze : une histoire d'amitié est née

     

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    Nouvelle découverte de ce mois : le magazine trimestriel Muze. Peut-on parler de magazine, je ne sais pas. Par contre, on peut parler d'un recueil contemporain de culture sous toutes ses formes : photographie, littérature, musique, arts plastiques, cinéma, philosophie, témoignage.

    Commandé au Virgin Megastore de Nice, il est enfin arrivé entre mes mains ce vendredi après-midi, grâce à la disponibilité de ma chère amie. Étonnant, cette fin de phrase, car ce Muze consacre quelques belles pages à l'amitié, cite "Chère amie" de Marc Lavoine, m'est apportée par ma chère amie, et je dois cette découverte à une amie facebookienne qui a écrit un sublime article sur l'amitié justement : Marie Robert. 

    A ce jour, je n'ai lu que le dossier "Ego" consacré à l'amitié. Cette amitié qui nous questionne, qui nous suit, nous poursuit, nous déçoit, qui nous est virtuelle, qui nous ronge, nous éblouis, nous rend heureuse, nous torture... L'amitié, qu'est-ce au fond ?

    Marie Robert nous répond d'une plume philosophique dégustative que j'adore. Merci Marie de cet éclairage philosophique. Ta plume est limpide rendant la philosophie agréable. Ton écriture est fort agréable, pas "prise de tête", et questionne. Je ne peux dire encore que je suis sous le charme, on va finir par croire que je suis une fan hystérique de l'entourage de G., et pourtant oui je suis sous le charme de ta philosophie, de ta réflexion mais surtout de ta capacité à nous faire "réflechir" sur l'amitié.

    L'amitié, c'est aussi une relation étrange, fusionnelle entre deux personnes du même sexe, mais pas du même âge, du même monde, c'est une relation entre un homme et une femme qui se transforme en duo gagnant pour Llilli Wood and The Prick. 

    L'amitié c'est le respect entre deux êtres, c'est la part complémentaire de l'un avec l'autre comme en témoigne Anne-Laure Bovéron dans l'article "Pages en partage", en nous livrant les liens d'amitié qui unissent quelques auteurs. Ainsi, je découvre l'amitié de Virginia Woolf (Une chambre à soi) avec Mansfield 

    L'amitié, d'un point de vue psychologique, vue par Patricia Delahaie (sociologue et auteure de Repères pour choisir ses amis, ses amours) nous ouvre les portes de notre rapport à l'autre. 

    Un dossier riche, complet mais surtout innovant (en tout cas pour moi) car rare (voir inexistant) sont les magazines qui permettent à leur lecteur, ou lectrice, d'aborder une thématique tant d'un point de vue littéraire, que philosophique, que psychologique, que musical....Le sujet abordé l'est sous toutes ses coutures culturels et ça c'est bon !!

    A suivre sur mon blog, je m'en vais lire les femmes au travail.

     

     

  • Attention au scorpion - André Boris - Flammarion

    André Boris, Guillaume Robert, Flammarion, Barbara Israel, roman, signe astrologique, scorpion, littérature

     

    Le deuxième opus d'André Boris est enfin paru, aux éditions Flammarion, ce mercredi 14 septembre. Après le fabuleux "Méfiez-vous de la vierge", nous voici transportés au pays de la reine Scorpion, ascendant scorpion.

    Un roman qui ne pouvait rester sans être lu par la lectrice que je suis, qui est :

    1) scorpion ascendant scorpion

    2) admiratrice d'André Boris

    3) Fidèle lectrice depuis maintenant deux ans de Barbara Israêl

    4) Fan et admiratrice de Guillaume Robert

    Il va s'en dire que cette première chronique sur ce roman n'est peut être pas très objective, à la lecture de mon état énoncé ci-dessus, mais il en est ainsi, et j'y reviendrais un peu plus tard.

    Première surprise, Jérémie et Charlotte sont au rendez-vous dans ce deuxième "volet". Je pensais que chaque roman serait indépendant, mais que nenni, nous retrouvons ici, pour quelques pages, nos héros de "Méfiez-vous de la vierge". Le monde est petit, faut dire ! Tout le monde se connait par l'intermédiaire d'untel ou untel...

    Julie, scorpionne, psychanalyste rencontre Guillaume par le biais de son meilleur ami. Une aventure humaine s'en suit donc. On y découvre alors la relation amoureuse d'une femme scorpion avec un homme plus jeune qu'elle mais très attachant. Je pourrais vous raconter l'histoire de ce roman, mais j'ai décidé d'en faire autrement pour ce livre et pour le moment !

    Je vous parlerai de la plume d'André, et dirais qu'il faut se méfier de cet auteur. Sous un aspect léger, il n'en est rien. André possède un don d'écriture de part son vocabulaire riche (j'ai du prendre mon dictionnaire quelque fois), par une plume fluide, légère qui a une spécialité : décrire le moindre sentiment, le moindre endroit parisien avec  justesse, et finesse. Ses personnages sont délicats, malmenés parfois, écorchés vifs aussi, mais attachants, tous le sont. Les phrases sont courtes, concises, les mots se révèlent parfois cru mais miroir de la réalité quotidienne dans le rapport à l'autre. 

    André relève un défi, à mon sens. Prendre des personnages quelconques, des lieux quelconques, des situations quelconques, une thématique légère pour beaucoup "l'astrologie", mais sa mixture finale en est un roman doux amer, un roman où l'on se retrouve que l'on soit scorpion, ami(e) de scorpion. Un roman, où  il faut savoir lire entre les lignes, analyser les mots, les tournures, les situations pour comprendre le message. Ce n'est pas si léger que cela la prose d'André Boris

    Lors de la lecture du premier roman, j'avais été frappé par le romantisme de l'auteur, on le retrouve aussi ici. La douceur est présente, les attentions, le romantisme est présent, décrit avec subtilité.

    Ma première lecture a été quelque peu difficile car je tentais de me retrouver dans le caractère de Julie, et oui je m'y suis retrouvée plus d'une fois, et il est alors difficile de se détacher pour lire avec objectivité. Alors je reprendrais la lecture intégrale de ce roman d'ici quelques semaines. Mais une chose est sûre, André est doué, André est un auteur qui a du talent, et un grand talent.

     

    Au delà de l'aspect littéraire, cette idée de douze romans sur les signes astrologiques est en train de contaminer mes amis, amies. Après leur avoir prêté, et/ou offert "Méfiez-vous de la vierge" ou "Attention au scorpion", on me téléphone en me disant "Bérangère, il sort quand le livre sur le lion, le sagittaire..."

    André vous êtes en train de créer l'attente chez les lecteurs, alors hop hop au boulot, y a dix signes astrologiques qui vous attendent et moi je n'en peux plus de leur répondre "Je sais pas". 

    Guillaume, encore merci de nous faire découvrir de jeunes auteurs talentueux

    Barbara, je ne peux que vous dire merci

     

     

     

  • Il n'y a que toi, Guillaume Fédou !

    Voici quelques jours, je vous faisais partager mon gros coup de coeur pour Guillaume Fédou et son "garçon moderne" qui envahit mes oreilles au moins trente fois par semaine.

    Et puis, une enveloppe sur mon i-phone qui m'informe d'un com sur mon blog.

    Je jubile, c'est le quatrième com en moins d'une semaine d'existence (ouai, je suis pas très exigente, je sais). Et oh, surprise c'est un charmant Matthieu du label JIA, qui en plus, me signale le dernier tube de Guillaume.

    Cher Matthieu, j'aime, j'adore Guillaume Fédou tant à priori, qu'à postériori !! Et merci de votre commentaire, je vous embrasse.

    Alors, pour vous, voici la dernière composition de Guillaume, et pour le plaisir, une reprise de "Un autre monde", que j'aime assez.

     

    Il n'y a que toi





     

     

    Un autre monde